Pour le pire et pour le .. ah non, pour le pire !

Pour le pire et le ... ah non, pour le pire !

Leah
feat.
Charly

	Pour le pire et le ... pire. De toutes les façons vous êtes liés à vie à travers vos coeurs, alors à quoi bon vous unir à travers des paroles ridicules ? Allez tchao ! Δ union ratée
C’était le grand jour, un pas dans sa vie paisible, un tourment dans son quotidien banal. Charly avait des changements drastiques dans sa vie depuis qu’il s’était mis en couple avec Leah. Son quotidien banal et ses après-midi gaming avaient laissé place à des soirées tranquilles devant un film, à sortir visiter la ville, à voir du monde, à rencontrer des gens, à vivre. Leah avait chamboulé sont quotidien, bousculée ses habitudes, elle lui faisait un bien fou, grâce à elle, Charly se sentait plus vivant que jamais, plus solide et investit. Elle a été le but qu’il avait toujours recherché, l’écrin de velours sur lequel il pouvait se reposer, confier ses secrets, ses doutes et des inquiétudes. Mais Leah lui avait appris à devenir plus fort, plus sûr de lui, pour qu’il soit une épaule solide sur laquelle s’appuyer. Elle avait faire renaitre Charly de ses cendres, en mieux. Cependant, Charly ne s’était pas encore décidé à la présenter à ses parents souhaitant éviter les séances questions gênantes. Ses parents connaissaient Leah du fait qu’elle était sa meilleure amie, mais ils n’étaient pas au courant qu’elle avait pris du grade dans le cœur de Charly. De plus il n’avait présenté qu’une seule petite-amie de toute sa vie et le résultat en fût un terrible échec. Alors, il ne souhaitait pas précipiter les choses, laisser le temps au temps et préparer doucement ses parents à un changement majeur dans sa vie. Raphaël était en couple avec son ami depuis deux ans, ses parents l’avaient bien accueilli, cependant Charly ressentait une inquiétude toute particulière de la part de ses parents. Certainement le rendu désastreux de sa relation avec Michelle qui avait affecté le couple. Mais le problème du jour n’était pas là. Leah était d’accord pour prendre du temps avant d’officialiser leur relation auprès de leur parent. Toutefois ils s’étaient mis d’accord pour prévenir leurs parents qu’ils emménageaient ensemble dans une grande colocation, pour profiter l’un de l’autre mais aussi de bénéficier des avantages d’une colocation. Charly avait omis un certain détail qu’il n’osait pas vraiment avouer à Leah, sur le fait que ses parents n’étaient pas au courant qu’il emménageait avec elle, mais surtout qu’il quittait la maison. Dans sa tête, il retournait le problème dans tous les sens à la recherche d’une solution, d’une alternative, d’une échappatoire. Charly avait pensé user de ses gardes pour s’éclipser chez ses parents quelques heures mais Leah était assignée par très loin de son poste, ce qui rendait l’évasion plus compliqué. Annoncer de but en blanc à ses parents qu’il partait risquerait de faire des dégâts irréparables. Un carton dans les mains, les yeux dans vide, fixant un point imaginaire Charly grimpait les escaliers lentement, les méninges en feu. Ils avaient pris la chambre tout en haut de la grande maison afin d’avoir le plus d’intimité possible et de ne pas déranger leurs colocataires. Ava, la propriétaire de la maison, était très charmante et Charly espérait pouvoir s’entre avec elle afin de ne pas finir noyer dans la piscine imbibé d’eau comme une éponge. L’ascension lui paraissait extrêmement longue, tant son cerveau tournait dans tous les sens. Devant la porte il poussait avec son pied l’obstacle et déposa le carton au pied du lit qui donnait sur le jardin. La vue n’était pas désagréable et l’espace bien agencé, vivre à deux là-dedans risquait d’être difficile mais le temps les aiderait à trouver une routine. En bas Charly entendait Leah parler avec une tierce personne, certainement Ava. Il n’arrivait pas encore à identifier toutes les voix. Sous peu une autre personne devrait arriver dans la colocation, qui comptait beaucoup, trop, de personnes selon Charly. C’était certainement le petit sacrifice qu’il devait faire pour être aux côtés de Leah, cette femme si vive et joviale. Il se demandait encore ce qu’elle pouvait bien lui trouver, lui home banal sans grand intérêt. Appuyé sur le chambranle de la porte ses yeux examinaient la maison, scrutant chaque recoin susceptible de cacher quelque chose. La maison était grande, spacieuse et moderne, dans des teintes agréables à l’œil, Charly se sentait rassuré d’être ici. Mais un pincement au cœur lui rappelait qu’il laissait ses parents, seul dans ce grand loft de South district, avec leurs deux chiens. Soufflant par le nez Charly se résigna à penser à une solution, ce n’était pas le moment, le déménagement n’allait pas se faire tout seul. De retour en bas, Charly enchaina les allers et retours du camion à la chambre afin de décharger toutes leurs affaires. Mais comment allaient-ils organiser tout ça ? Ils avaient beaucoup trop de chose pour se petit espace si restreint. De toutes les façons ils feraient un grand tri dans les jours qui suivent, sinon ils vivraient dans le bordel H24. Profitant d’une petite pause bien mérité, après divers allers retours éreintant, les pieds de Charly coulaient sous l’eau fraise et délicieuse de la piscine. Son pantalon de sport retroussé sur ses mollets et son tee-shirt blanc transparent de sueur respirèrent de nouveau à ce délicat toucher. Ses yeux voyagèrent du petit bosquet d’arbre aux fleurs parsemée ici et là dans le jardin donnant une sensation paisible à l’environnement. Son dos lui faisait mal et ses mains striées de petites cicatrices du au carton et aux divers objets qu’il avait manipulés dans la journée. De plus, il devait se rendre à l’hôpital en fin d’après-midi afin de commencer sa soirée et sa journée de garde. Charly était épuisé, mais il devait se donner du courage afin de se lancer dans cette nouvelle aventure. Sortant de son confort momentané, Charly aperçut Leah dans un recoin de la cuisine, chargée d’affaire. Ava avait quitté la maison un peu plutôt dans l’après-midi pour vaqué à ses affaires. Ses pieds glissèrent sur la pelouse fraichement tondue et verdoyante. La cuisine était bien équipée et pratique avec sa grande table qui pouvait accueillir un banquet. Les mains de Charly attrapèrent la taille de Leah, la faisant tourner doucement vers lui. Charly plongeait son regarde dans celui de Leah appréciant les différentes teintes qui jouaient dans ses prunelles avec la luminosité tombante. Doucement ses lèvres s’approchèrent de celles de Leah, se scellant dans un tendre et délicat baiser, ses mains descendant vers ses hanches, rapprochant leurs deux corps. Ses lèvres se faisaient plus avides, plus désireuses. Doucement il déposa Leah sur la table, trouvant confortablement sa place entre ses cuisses son torse contre celui bombée de sa douce. Ses lèvres se mouvaient avec ardeur, léchant et suçant avec tendresses leurs paires, si charnue et pleines. Les mains de Charly caressant les reins, puis le dos, la naissance des seins de Leah, son cou, ses cheveux. Il se délectait de cette bonne chair, si délicate et tendre. Ses mains se firent plus audacieuses quand ses lèvres se ruèrent dans le cou de la jeune femme, martelant tantôt de baiser tantôt de morsures qui tournaient au violacées. Ses doigts malaxèrent tendrement les fesses de Leah, ses lèvres torturant son cou sans pudeur. Calmant ses hormones et ses envies, Charly embrassa une dernière fois fougueusement Leah, puis calma la danse. Un baiser doux et tendre, une lèvre sucer délicatement, une dernière caresse sur le dos, Charly se recula un peu de Leah et admira ses joues légèrement rosées par la dure journée et le long et fougueux baiser échangé. « Aujourd’hui est un grand jour pour notre couple, on passe une étape. Je suis heureux de pouvoir vivre ça avec toi, de partager tous ses moments fabuleux. J’espère qu’on en aura encore plein d’autres. Je … Je t’aime Leah. » Charly n’était pas un habitué des confessions ou des mots doux, mais de temps à autre il s’adonnait à cet exercice pour rassurer Leah et profiter pour délesté son cœur.
© Gasmask

J'avais était tellement sûre de moi lorsque j'avais demandée à Charly d'emménager. Je ne savais que trop si nous étions prêts. Mais au fond cela m'importais peu, j'étais certaine d'une chose je l'aimais. J'aimais cette bouille, ce sourire con sur ces lèvres fines qui s'affichait chaque fois que je fronçais les sourcils. Comme les deux meilleurs amis que nous avions longtemps étaient. Il était bien plus qu'un amour de jeunesse. Il était tout pour moi, comme un membre à part entière de ma famille, de ma vie. Il faisait partie de ces rares personnes que j'aimais inconditionnellement. Je savais que quoi qu'il puisse arriver il serait-là à mes côtés. Parce que malgré ce qu'il disait de lui, malgré le fait qu'il se dise lâche et fuyard, il n'en était rien. Bien au contraire, il avait toujours assumé tout ce que nous avions fait. Que ce soit nos conneries de gamins ou nos récentes relations intimes. Je voulais qu'il fasse partie intégrante de ma vie. C'est ainsi pour cela que je lui avais demandée de venir vivre avec moi. Pour que nous puissions nous construire un nid. Et même si cela était une colocation, nous avons notre propre cocon, un espace rien qu'à nous. Notre chambre. Une chambre dans laquelle nous nous regardions grandir et bien que nous ayons autant ris que pleurer nous sommes heureux du moins c'est ce que je ressens.

Je me retrouvais dans la cuisine, me délectant d'un verre de jus d'orange grandement mérité après cette journée. Lorsque je sentis ses mains sur ma taille, un délicat frisson vint parcourir mon dos. Nous en arrivions vite à nous embrasser, à ce moment-là comme tout le temps lorsque cela arrivait, le reste du monde avait peu d'importance.

Tendrement mes lèvres cherchèrent les siennes, se nourrissant pleinement de la chaire douce et délicieuse de Charly. Il s'emporta vaguement me laissant pleinement sur mon désir accrue de m'enfuir dans une des pièces de la villa. Finir ce que nous avions si bien commencés. Hélas, il se mit à me regarder de ses yeux de biches et je ne su résister. Ses paroles furent aussi belles que sincères. Tant que j'en ressentis une légère pointe au cœur. AH. Charly, il avait le don de me faire tourner dans tout les sens. Et cela qu'importe la situation.

" Tant que tu es heureux, je le suis également.. Je t'aime aussi, et à un point que tu n'imagines même pas.. Au fait ! Je t'ai déjà dis que je trouvais beau?"

Je levais les yeux au plafond en gardant un sourire en coin. Attrapant par la suite ses deux mains pour venir les poser à nouveau sur mes fesses. J'adorais cette impression d'appartenance. J'avais besoin de cela. Car même si je ne me sentais jamais seule, lui me manquais et cela tout le temps. Il était d'autant plus dur de ne pas l'enfermer dans un placard à l'hôpital. Mes hormones, parlons-en. Jamais je n'avais ressentis ces choses-là, il éveillait en moi des sentiments à la fois des plus romantiques au plus malsains. Achille avait son talon comme faiblesse, la mienne c'était clairement lui.

J'attrapais son visage de mes mains, exerçant une légère pression pour l'approcher du miens, échangeant quelques baisers, prolongeant cette éternelle et perplexe attirance. Sortant parfois le bout de ma langue pour venir les lécher de façon sensuellement douce, les mordillant à chaque occasions. Cet homme me rendait folle. Au point de me faire interner, cela pouvait paraître effrayant, moi je ne pouvais m'arrêter de penser que ce n'était que le résultat de l'amour que je ressentais pour lui.

Spoiler:

» Leah Armaniez - Un pour tous, tous pour un ..
» Juste pour confirmer
» ⊹ Pour être médecin/Chirurgien
» Crimson day - Codages /avatars pour rpg
» (m) Garrett Hedlund/ James Franco - Un mari pour la vie ?