For the rest of our lives Ft. Anton

I will always love you..

Comme à son habitude elle était réveillée la première. Kristina avait passée une des plus belles nuits de sa vie en compagnie de celui qui allait peut-être un jour devenir son époux. Le sourire aux lèvres, elle détaillait du regard les traits du visage du beau docteur qui était assoupit à ses côtés. Il était certain qu'à ses yeux il était le plus beau, ce n'était pas qu'une question de physique. La blonde aimait presque la totalité de cet homme. Les 10 pourcents restant étaient sa façon d'être entêté, elle n'avait pas choisit la personnalité la plus facile à vivre il faut dire. Un Sicilien, oui, qui parle fort et avec les mains, qui marmonne des bribes dans sa langue lorsqu'il est en colère, mais aussi qui n'hésite pas à flirter avec son petit accent lorsqu'il désire quelque chose.

Anton et elle s'étaient rencontrés à l'hôpital, jamais elle n'aurait pensée qu'elle attirerait le regard de celui qui était encore interne, mais qui avait déjà tout pour être chirurgien à l'époque. Les années avaient passées, pas l'amour qu'elle ressentait pour lui.

Sa main vint se poser tendrement sur le torse du brun, contournant ses pectoraux et descendant sur son nombril du bout de ses doigts. Elle ne voulait pas le réveiller, mais se languissait tout de même de le voir sourire. Ahhh, elle était pressée pour sûre de devenir sa femme, d'avoir un enfant avec ce dernier et même un chien, mais elle n'oubliait pas pour autant que ce serait dur avec une telle belle-famille d'être à la hauteur de leurs espérances. Kristina bien que sérieuse est avant tout une jeune femme pétillante et fêtarde, qui entraîne Anton dans des soirées où elle ne connaît personne. D'ailleurs ils en revenaient d'une la veille et à en déduire par le peu de vêtements qu'ils portaient, si l'on peut appeler un drap un vêtement, ils avaient finit la soirée en beauté.

Codage par Libella sur Graphiorum

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you & me

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Anton était fou d'amour de sa grande blonde aux yeux bleus. Il n'était qu'un petit interne au Seattle Hope Hospital lorsqu'il avait aperçu Kristina derrière son comptoir d'infirmière. Il était fasciné par cette blonde, la première pensée qu'il a eue à cet instant était : « Più Bella di quanto potessi si immaginare. » On lui avait parlé d'une infirmière aux courbes généreuses, mais un caractère bien à elle. Il n'en fallait pas plus au jeune sicilien pour se mettre à sa recherche dans l'hôpital. Il s'était pris à son propre piège en tombant amoureux de sa Kristina,tellement fou pour en devenir jaloux et possessive au fil des années qu'interne et pire quand ils ont commencé à officialiser leur relation.

Le voilà, aujourd'hui endormi à ses côtés après une nuit de folie dans un autre pays. Elle l'avait entraîné dans une fête qui se trouve dans un autre pays. Cela lui fît rappeler ses années d'étudiants où il passait ses week-ends à chasser les filles comme le grand don juan qu'il était à cette époque. Une époque révolue depuis qu'il avait Kristina dans sa vie, elle avait rendu le gars le plus volage complètement fidèle. Profondément endormi, il sentit ses mains sur le torse, puis descendre jusqu'à son nombril et ne pus s'empêcher de laisser des gémissements avec sourire avant de rattraper sa main et mis de côté pour observer son visage.

« Buorgiorno, amore, bien dormi ? »

Lâchant sa main pour caresser son visage avec le dos de sa main, il ne pouvait s'empêcher de rêver à l'avenir qu'ils allaient avoir ensemble. Puisque l'aube pointait le bout de son nez, il était temps de prendre une douche. Anton se releva, se positionna entre les jambes de Kristina et pris appuis de ses coudes autour du visage de Kristina. La contemplation de son visage ne dura pas assez longtemps qu'il s'était mis à l'embrasser langoureusement faisant sa langue contre la sienne. C'est ce que l'on appelait un matin qui commence bien. Il en voulait plus, mais dans l'immédiat, ils puaient l'alcool à plein nez, il mit fin à ce baiser et attrapa fermement Kristina pour se lever avant d'attraper ses fesses direction la salle de bain.

« Il est temps de prendre une douche, madame. »

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by Wiise

I will always love you..

Ce sont des yeux pétillants d'amour qu'elle plonge dans ceux de celui qui partage sa vie. Elle avait trouvée son âme-sœur, la personne qui accepterait de la suivre n'importe où dans ses délires les plus fous. C'était plus important que tout à ses yeux, parce qu'après tout s'il l'aimait suffisamment pour la laisser se glisser sous le même drap il devait également faire preuve d'une confiance aveugle en elle. Le premier petit-ami de la belle blonde lui n'était pas de ce genre, ils étaient très jeunes et il était immensément jaloux, de façon presque maladive, un jour il a essayé de la séquestrer dans sa chambre pour ne pas qu'elle aille à la soirée de son amie. Résultat des courses? elle avait finit par péter la fenêtre et s'était coupée au bras, sautant du premier étage pour finir la nuit à danser avec ses amies. Kristina c'est un espèce d'oiseau rare et très libre, elle déteste se sentir acquise et encore plus que l'on la force à faire quoi que ce soit. Elle serait capable de fuir dans un autre pays et de changer de nom pour ne pas qu'on l'a retrouve. Après tout c'est ce que lui avait apprit à faire son cher père et ça elle en avait déjà fait part à Anton. Elle l'avait prévenue que si la confiance qu'il y avait entre eux se fissurer alors il devrait prier fort qu'elle l'aime assez à ce moment-là pour lui laisser une seconde chance, car enfants ou non elle n'hésiterait pas à partir.

Cependant ce n'était actuellement pas le cas, pour l'instant elle était dans ses bras et c'était tout ce qui lui importait. Qu'elle fût sa surprise lorsque ce dernier se mit à la soulever par les fesses pour la porter jusque la salle de bain. Elle en rit, un rire franc comme elle n'avait plus fait depuis la mort de sa grand-mère. Quelqu'un de vrai, voilà ce qu'elle était, et c'était sans doute pour cela qu'@Enaël Flint était son meilleur ami et qu'Anton était tombée amoureux d'elle. Son caractère les rendaient tout les deux chèvres, mais ils savaient d'une façon ou d'une autre que de toute évidence elle serait toujours-là pour eux, qu'elle les aimait sincèrement et qu'elle est un appuie majeur envers et contre tous-ceux qui oseront leur causer du tord.

« Buorgiorno ! » - s'amusait-elle à répondre, oui Kristina ça la faisait marrer l'accent de son bellâtre Sicilien.

« Comment pourrais-je aller mal lorsque je suis avec toi Anton? par tous les dieux ! » - Et la voilà qui se remise à rire, décidément l'amour ça rendait con.

Elle passait ses mains de chaque côté du cou du beau brun, penchant sa tête sur le côté et rapprochant sa poitrine du torse de ce dernier. Elle en était folle, c'était certain.

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Les mots n'étaient pas assez forts pour exprimer tout l'amour et le bonheur que pouvaient m'inspirer cette jeune femme. C'était physique, émotionnel et psychologique ! Personne ne pouvait comprendre à quel point il l'aime ! Le courant était passé entre les deux très vite et bien que le début de relation ne soit pas un réel conte de fée à raconter à leur futur enfant. Il était persuadé d'une chose, cette femme était faite pour lui, il donnera corps et âme pour elle. Il ne pouvait tout simplement pas tolérer une minute sans sa présence dans la sienne. Le destin avait voulu que leurs chemins ne cessent de se croiser dans les couloirs d'un hôpital et Anton avait la ferme intention de donner raison au destin. Elle l'avait informé que si la confiance entre eux se fissure il devait prier très fort pour qu'elle aime assez fort pour lui laisser une seconde chance. Kristina n'était pas une de ses filles, qu'il avait si facilement mise dans ses draps, elle était différente et elle avait exactement le caractère assez fort pour compenser le sien. Ils étaient faits pour vivre ensemble jusqu'à ce que la mort les sépare et encore, il avait la ferme intention de ne jamais se séparer de sa Bulgarienne même dans l'au-delà.

Passant ses mains de chaque côté de son cou, il frissonna de plaisir. Il la maintenait fermement et l’embrassa sur tout le visage, sur les épaules, dans sa nuque et sur le haut de sa poitrine jusqu’à la douche. Cette femme le rendait fou, ses courbes de rêve, ses lèvres, sa longue chevelure d’un blond éblouissant, ses yeux, mais ce qui le faisait fondre le plus c’était son sourire. Elle allait causer sa perte un jour ou l’autre.

Dans le classement des journées les plus belles, celui-là était certainement dans le top 10 du classement et le restera jusqu'à la fin de sa vie. Comment avait-il pu vivre à Seattle toutes ses années sans l'avoir croisé une fois ? Mais le destin a voulu qu'ils se rencontrent, il aimait travailler avec elle, il aimait tout ce qui avait un rapport avec Kristina. Il observa l'eau de la douche couler sur sa peau et son excitation doubla. Il embrassa ses épaules dénudées et caressa du bout des doigts chaque parcelle de son corps en commençant par son ventre pour remonter entre ses seins.

« Tu es la plus belle femme que l'on puisse rêver d'avoir, Kristina, tu fais de moi l'homme le plus chanceux de cette planète. Je te suivrais n'importe où et si tu me quittes, je te chercherais jusqu'au bout du monde. »

Il lui susurra ses mots au creux de l'oreille, y déposa un baiser doux et enlaça celle à qui il avait juré fidélité, amour et protection avant de lui avoir demandé en mariage. Anton savoura ce moment de plaisir, ce moment où ils étaient tous les deux, comme si rien d'autre n'existe.

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by Wiise

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Tout était si parfait, lorsqu'elle était avec lui rien d'autre ne comptait que leur petit nid d'amour. Malgré tout ce qu'ils avaient pu affronter ensemble, ils étaient plus inséparables que jamais. Kristina aimait d'ailleurs envoyer un court sms à Anton lorsqu'ils étaient séparés, un sms qui disait "Pour toujours et à jamais". C'était leur façon à eux de se dire "je t'aime" et cela signifiait tellement plus. Il était certain pour elle qu'elle voudrait finir ses jours à ses côtés. Plus rien n'était plus important que la famille qu'il fonderait ensemble et ce qui est sûr c'est que ces deux-là ne se donnait pas de mal à le faire. Pour Indochine il s'agissait de 3 nuits par semaine, pour eux s'en était plutôt six. Il l'attirait tel un aimant, c'était presque plus fort qu'elle de ne pas avoir envie de lui sauter dessus.

Ses mots la rendirent toute chose, des frissons vinrent se former le long de sa colonne et elle se blottit tout contre lui après qu'il eu déposé des ses baisers. Il n'existait à vrai dire rien de mieux que d'être peau à peau avec l'être aimé. Il était devenu un besoin primordial pour la blonde de partager de tels moments avec Anton. Ce n'était pas toujours évident compte tenu de la charge de travail qu'ils avaient, mais d'une certaine façon ils s'arrangeaient toujours pour se retrouver.

« Jusqu'au bout du monde ? réellement ? .. Intéressant.. je devrais peut-être essayer alors, ainsi tu auras une excuse pour me rejoindre dans chaque lit de chaque hôtel.. ! » la blonde souriait.

Déposant à son tour de doux baisers sur le cou de son amour, elle aimait jouer, oh s'en était certain et elle faisait tout pour rendre cet homme fou d'elle. Elle avait en partie réussit, mais elle irait toujours plus loin pour le pousser à braver toujours plus de tempêtes pour elle. Ainsi elle s'amusait à se frotter délicatement contre le brun face à elle qui en perdait la tête.

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L'idée de perfection n'a pris une réelle importance dans la vie d'Anton que le jour où il avait compris que Kristina était la femme de sa vie. On voit revenir assez souvent les mots de parfait et de perfection dans les écrits de Platon, d'Aristote, etc… Mais on le voit souvent comme une chose qui ne peut exister du fait que personne n'est réellement parfait. Il existe en chaque homme une chose même infiniment petite qui le rend imparfait, alors lorsque le brun dit que sa vie sera parfaite avec Kristina est une vaste blague. Dans le sens où lui, plus que quiconque pense que la perfection n'existe que dans le monde imaginaire des bisounours. Il avait trouvé de quoi faire rire le reste de sa famille pour une durée indéterminée, mais il se fiche royalement que l'on rit de lui pour cela. Tout ce qui compte pour lui, c'est de vivre sa vie avec Kristina, sans se préoccuper de l'avenir.

« J’irais te chercher sur Pluton si cela me permets de rester à tes côtés, mon amour. Je n’ai aucunement besoin d’une excuse pour être dans ton lit. »

Les doux baisers qu'il sentait a le don de l'émoustiller très vite. Cette femme est la quintessence du plaisir. Une tentation à laquelle on prendrait plaisir à succomber. Est-elle consciente de l'effet qu'elle produit sur Anton ? Certainement, mais cela ne voulait-il pas dire qu'elle est celle que le destin a choisi pour lui. Il n'en fallait pas plus pour que le jeune interne attrape les hanches de sa blonde et la face reculer de façon à ce qu'elle soit dos contre le mur pendant qu'il embrassa son corps avec toute la sensualité et la fougue d'un sicilien. Il n'hésita pas à mordre son épaule pour marquer son territoire.

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