Je rentre assez vite de la salle, ma main me frottant le dos. Je sais que j’ai foré aujourd'hui et que je vais me faire engueuler. Moi avoir peur de me faire enguirlander par deux jeunes et jolies jeunes femmes. Ironie. ais vous avez pas vu les deux là quand elles ont décidés. De vraies harpies. J’arrive enfin, j’ouvre la porte, souris au portier et monte les escaliers. Arrivé là je prends ma jolie petite soeur par derrière, un baiser est déposé. - Je monte, elle est en haut ? - Elle hoche la tête. Je monte encore, m’arrêtant à chaque palier. Je la vois, à la fenêtre, ses boucles descendant le long de son dos. Je m’approche, pose mes doigts sur son dos, remonte la colonne et embrasse sa nuque. - Dis moi, tes mains magiques peuvent aider mon dos ? J’ai entraîné un type, j’ai forcé. Et râle pas, je peux pas toujours faire gaffe, jdois bosser. Et un de mes entraîneurs est malade. - Je la pousse contre le mur ensuite, puis dépose un baiser sur ses lèvres. Je lui prend la main et l’embarque sur le lit, je m’installe. Je sais qu’elle le fera. Parce qu’elle aime faire ça, même si elle a en horreur que je pousse. même si nos soucis sont du passé, il reste une part d’elles deux qui se rappelle aisément ce qui est arrivé et pourquoi. Et culpabilisent. - J’ai demandé Ariadne, tu sais, la blonde là, très classe du dernier gala, si elle pouvait se charger de reprendre le ptit dernier là. Lui j’ai failli en faire du hachis. - je me retourne et l’embrasse, puis grimace, je me suis tourné trop vite. Je souris à l’idée que je suis rentrée. elles sont mon refuge des mauvaises journées. Des bonnes aussi. - Dis moi, t’es pus brune ou blonde toi ? - Que j’ai envie de savoir, après tout, elle est bi.